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Majorité absolue ou non pour le parti de la gauche radicale SYRIZA : un véritable thriller.
Les estimations du ministère de l'Intérieur lui donnent 150 sièges mais à la limite de l'erreur statistique, et avec une éventualité de voir changer le résultat dans les heures qui suivent, soit avec un pourcentage plus bas soit avec un pourcentage plus élevé.
Un autre thriller : quel sera le parti qui viendra en troisième position?
Le président de la Nouvelle Démocratie, Antonis Samaras, a exprimé ses félicitations à son rival politique le président du SYRIZA, Alexis Tsipras, pour sa victoire électorale.
Le président du PASOK, Evanguélos Vénizélos, a annoncé la tenue d'un congrès de renouveau radical et d'unité, portant sur tous les sujets y compris la question d'un changement à la tête du parti, précisant qu'il s'agit d'un ''congrès du PASOK et non de tout autre ersatz''.
La photo de Giorgos Papandréou a disparu des murs du siège du PASOK, rue Charilaou Trikoupi.
L'information a circulé il y a peu et est considérée comme une preuve de la colère qui règne dans le parti vis à vis de l'ancien premier ministre qui a créé un nouveau parti, le Mouvement des socialistes démocrates.
Les urnes ont parlé: le parti de la gauche radicale Syriza est le grand gagnant des élections et la classe politique française s'est empressée de réagir suite à l'annonce des résultats.
Le PS «se félicite de la victoire des forces de gauche en Grèce, une bonne nouvelle pour le peuple grec» selon son secrétaire national à l'Europe, Philip Cordery.
« La ligne anti-austérité est aujourd'hui renforcée en Europe. Depuis 2012, François Hollande et les leaders sociaux-démocrates sont à l'oeuvre pour réorienter l'UE. Ils trouveront en Alexis Tsipras un nouvel allié. C'est unie que la gauche fera triompher l'Europe de la croissance, de l'emploi et de la solidarité».
Le fondateur du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, s’est réjoui d’un «moment historique».
«C'est une page nouvelle pour l'Europe. Peut-être que nous tenons l'occasion de refonder l'Europe, qui est devenue l'Europe fédérale des libéraux.» a-t-il déclaré.
Le numéro un du Parti communiste (PCF) Pierre Laurent s'est dit «absolument ravi».
«Maintenant que la victoire semble extrêmement large, beaucoup plus large que ce qu'on pouvait imaginer, c'est un immense espoir qui nous saisit, un vrai bonheur pour le peuple grec, mais au-delà du bonheur pour nous tous en Europe. »
Cécile Duflot, députée d'Europe Ecologie-Les Verts a publié une tribune sur le site de Libération : «L’élection grecque ouvre enfin une brèche dans le glacis libéral. Nous devons aider la Grèce, mais nous devons aussi l’inviter à ne pas tomber dans le piège traditionnel de la gauche».
Le frondeur PS Benoît Hamon a posté sur twitter un message en grec pour saluer la victoire de Syriza: «Nous remercions le vote du peuple grec qui vous inspire dans toute l’Europe.»
Le député UMP Henri Guaino a déclaré : «Si ça pouvait faire réfléchir l'Europe et la faire revenir sur ses dogmes, ce serait un mal pour un bien».
«Une chose est sûre, c'est que les politiques d'austérité que nous avons menées ne marchent pas» a-t-il poursuivi.
Les estimations du ministère de l'Intérieur lui donnent 150 sièges mais à la limite de l'erreur statistique, et avec une éventualité de voir changer le résultat dans les heures qui suivent, soit avec un pourcentage plus bas soit avec un pourcentage plus élevé.
Un autre thriller : quel sera le parti qui viendra en troisième position?
Le président de la Nouvelle Démocratie, Antonis Samaras, a exprimé ses félicitations à son rival politique le président du SYRIZA, Alexis Tsipras, pour sa victoire électorale.
Le président du PASOK, Evanguélos Vénizélos, a annoncé la tenue d'un congrès de renouveau radical et d'unité, portant sur tous les sujets y compris la question d'un changement à la tête du parti, précisant qu'il s'agit d'un ''congrès du PASOK et non de tout autre ersatz''.
La photo de Giorgos Papandréou a disparu des murs du siège du PASOK, rue Charilaou Trikoupi.
L'information a circulé il y a peu et est considérée comme une preuve de la colère qui règne dans le parti vis à vis de l'ancien premier ministre qui a créé un nouveau parti, le Mouvement des socialistes démocrates.
Les urnes ont parlé: le parti de la gauche radicale Syriza est le grand gagnant des élections et la classe politique française s'est empressée de réagir suite à l'annonce des résultats.
Le PS «se félicite de la victoire des forces de gauche en Grèce, une bonne nouvelle pour le peuple grec» selon son secrétaire national à l'Europe, Philip Cordery.
« La ligne anti-austérité est aujourd'hui renforcée en Europe. Depuis 2012, François Hollande et les leaders sociaux-démocrates sont à l'oeuvre pour réorienter l'UE. Ils trouveront en Alexis Tsipras un nouvel allié. C'est unie que la gauche fera triompher l'Europe de la croissance, de l'emploi et de la solidarité».
Le fondateur du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, s’est réjoui d’un «moment historique».
«C'est une page nouvelle pour l'Europe. Peut-être que nous tenons l'occasion de refonder l'Europe, qui est devenue l'Europe fédérale des libéraux.» a-t-il déclaré.
Le numéro un du Parti communiste (PCF) Pierre Laurent s'est dit «absolument ravi».
«Maintenant que la victoire semble extrêmement large, beaucoup plus large que ce qu'on pouvait imaginer, c'est un immense espoir qui nous saisit, un vrai bonheur pour le peuple grec, mais au-delà du bonheur pour nous tous en Europe. »
Cécile Duflot, députée d'Europe Ecologie-Les Verts a publié une tribune sur le site de Libération : «L’élection grecque ouvre enfin une brèche dans le glacis libéral. Nous devons aider la Grèce, mais nous devons aussi l’inviter à ne pas tomber dans le piège traditionnel de la gauche».
Le frondeur PS Benoît Hamon a posté sur twitter un message en grec pour saluer la victoire de Syriza: «Nous remercions le vote du peuple grec qui vous inspire dans toute l’Europe.»
Le député UMP Henri Guaino a déclaré : «Si ça pouvait faire réfléchir l'Europe et la faire revenir sur ses dogmes, ce serait un mal pour un bien».
«Une chose est sûre, c'est que les politiques d'austérité que nous avons menées ne marchent pas» a-t-il poursuivi.